Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 ✗. Jordan Kennedy Weston

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Calamity-Jane
Calamity-Jane
Admin

Messages : 149
Date d'inscription : 26/05/2008


✗. Jordan Kennedy Weston Empty
MessageSujet: ✗. Jordan Kennedy Weston   ✗. Jordan Kennedy Weston Icon_minitimeMar 18 Sep - 11:00



Jordan Kennedy Weston.



yes, we're stalking you.

⊱ nom(s) : Weston ⊱ prénom(s) : Jordan Kennedy. ⊱ anniversaire : le 21 mars 1986.⊱ lieu de naissance : Sitka, Alaska ⊱ statut civil : Célibataire ⊱ métier/études : Inspecteur de police. ⊱ attiré(e) par : les boyz ⊱ groupe : Coconut Kiss.
asl : age, sex, location.

⊱ pseudo : Calamity-Jane. ⊱ âge : 23 ans. ⊱ sexe : Lady. ⊱ pays : France. ⊱ présence : 4/7 ⊱ comment est-ce que tu nous as traqué ? Riri, Fifi et Loulou ⊱ et tu te plais à hawaii ? question rhétoriquement stupide . ⊱ tu joues qui ? Blake Lively Oo. ⊱ créditer ne tue pas : Tumblr sur tous les fronts.

what you need to know about me.

I'm this kind of girl

Au premier abord on vous dira que cette nana là on en a rien à craindre. Jolie, blonde, bien habillée, elle parait douce, incertaine, timide et la victime d’un grand manque de confiance en elle. Cependant il s’avère que je suis plus coriace que ça. Oui je doute beaucoup. De moi, des autres, et mon partenaire vous dirait que je réfléchis beaucoup, beaucoup trop. Je suis sociable mais extrêmement solitaire et indépendante. Avec ce que j’ai vécu, faire confiance n’est pas, n’est PLUS dans ma nature. Je ne suis guère loquace, préférant le silence aux grands mots. Le silence me protège, m’empêche de trop me dévoiler. Dire que je suis une traumatisée serait vrai. J’ai vécu un traumatisme et chaque jour je me bas contre ça. Ceci dit, une fois la glace brisée, oui je me montre douce, gentille, amicale. J’aime la réserve et la demi-mesure. Mais je peux aussi me montrer impulsive, vindicative et boudeuse. Je suis toutefois réfléchie et j’aime beaucoup rire.
Je sors beaucoup. Du moins dans le sens que je passe mon temps à découvrir l’île. Activités de pleines natures, faune, flore, populations. Tout ça m’intéresse énormément. Je découvre des choses et me découvre par moi-même. Cela me rappelle mon île natale, même si les températures ne sont pas les mêmes. J’ai l’impression de naitre à nouveau. D’avoir eu un vide de vingt ans dans ma vie et de soudain me réveiller. J’aime ce sentiment que tout m’est possible. Je suis une battante, ça c’est clair. Et je refuse d’avoir peur, peur à nouveau, de laisser quelqu’un prendre le contrôle de mon existence. J’aime boire un verre de vin blanc le soir, et passer justement la soirée en pyjama sur mon canapé devant la télé. Fini les soirées mondaines, et les nuits blanches. J’aime la chaleur de mon appart, et la compagnie de mon chat.
Je ne dirai pas que je suis une fille inaccessible. Juste que c’est très compliqué de percer la carapace. Mais rien n’est impossible…



a good life ain't no fun.

From Alaska to New-York : fashion trip

Le froid, la neige, les montagnes. Des contrées peu peuplées, hostiles, et dans tout ça une île. Une île accessible uniquement par la mer ou par hydravion. Moins de 10 000 habitants, des températures tournant autour des 20 degrés au plus chaud et -30 en hiver. Ça c’est là où je suis née. Sitka, ville d’Alaska, le 49° et le plus vaste état des Etats Unis d’Amérique. C’est difficile à imaginer quand on sait ce que je suis devenue par la suite. Ce que je suis aujourd’hui. Comment une petite fille née au milieu de nulle part, accoutumée des grands espaces et des ours, du froid, et de la dureté d’un climat, a pu un jour devenir perle de la Mode. Et bien je vais vous le dire.
Un jour que je jouais dans la rue, devant l’Office de Poste, un homme, un touriste, me prit en photo. La seconde d’après, tandis que ma mère sortait de l’office, il se présentait à elle. Il s’appelait Stuart Hoggins, il était photographe de mode et aurait été très intéressé par faire un shooting avec moi. J’avais à peine 6 ans, ma mère décréta qu’elle allait y réfléchir. Il insista fortement sur le potentiel que j’avais. Elle prit sa carte et nous partîmes. Ce n’est qu’après en avoir discuté avec mon père que finalement mes parents décidèrent de tenter le truc. Moi, petite fille, on voulait me prendre en photo et faire de moi une princesse, ça me disait bien. Quelques mois plus tard nous reçûmes à la maison une lettre en provenance de New York. Une agence de mannequin avait bien reçu mes clichés par l’intermédiaire de Stuart, ils souhaitaient me rencontrer.

C’est ainsi que démarra ma carrière. Quelques temps plus tard nous déménageâmes à New York, comme il le fallait. Mes études passèrent tout de même avant tout. A raison de quelques shooting par mois, il devint certain que plus je grandissais, plus les cachets devenaient important. Je finis même par devenir une pro. J’arrêtais les études après deux ans à la Fac à étudier les animaux. J’arrêtais les études après la mort de mon père en fait. Ce dernier était pompier, ça n’avait donc pas été difficile pour lui de trouver un job à New York après notre départ de Sitka. Mais c’est lors d’un sauvetage particulièrement périlleux qu’il trouva la mort. Papa avait survécu au crash du World Trade Center, mais pas à un incendie dans un tunnel. Lui qui aimait tellement que ça petite princesse soit toute jolie, toute belle, en couverture de magazines, pomponné, chouchoutée, enviée… Il était tellement fier… que j’abandonnais complètement mes études pour me lancer dans la mode à corps perdu. Ce que je préférais ? Les séances photos.
Mes contrats, l’argent que je gagnais, me permit de m’offrir un joli appartement avec vue sur Central Park, de même que pour ma mère. J’en plaçais une bonne partie sur un compte, mais il est clair que je n’avais aucun souci à me faire. Je n’étais pas de ces modèles qui crisent pour un oui pour un non. J’avais juste la réputation d’être cette fille indépendante et insaisissable qui plait tant aux agences de mode. Des amis ? Oh oui j’en avais. Je savais qu’ils étaient en paille, mais j’en eu la confirmation que plus tard. J’étais heureuse. Je faisais un métier dans lequel je m’épanouissais. J’avais un petit ami formidable, un bel appartement, de l’argent. Oh que oui j’étais heureuse !


From Dream to Death : hell trip
Une jolie maison. Bien décorée, bien agencée. Claire et lumineuse. Chaleureuse. La demeure de quelqu’un qui gagne bien sa vie, qui investie pour son foyer. Et là, sur le tapis : du sang. Du sang qui s’étale en gouttes sur le parquet. Un frisson me parcourt violemment et je sers les bras contre mon corps. Je sens plus que je ne vois ma mère qui se retourne et tend la main vers moi.
« Roh zut ! J’ai fait tout nettoyer pourtant. Izzie a du oublier cette zone. Viens ma chérie. »
L’idée qu’elle puisse me mentir me traverse l’esprit. Ces tâches sont restées là exprès. Elle a fait exprès de les laisser bien en évidence pour me faire mal, pour que je me souvienne. Je soupire et la suis. Non, cesse. Ne commence pas à être suspicieuse. Pas maintenant. Pas déjà.
C’est la première fois que je remets les pieds chez nous depuis… Depuis… Depuis mon agression…
L’idée que quelqu’un puisse s’infiltrer chez soi, nous frapper, nous emmener de force et continuer encore à nous malmener est au-delà de toute conception. Et pourtant.
J’avais à peine fini de mettre la clé dans la serrure que je me retrouvais violemment projetée en avant. Quelqu’un avait saisis mes cheveux et les tirait en arrière m’arrachant le cuir chevelu. J’avais crié. Je crois que j’avais crié. C’est du moins ce qu’il me semble puisque je me souviens clairement d’une voix qui me demande brutalement de me taire. Je me souviens ensuite du contact froid et piquant d’une lame de couteau contre ma gorge alors qu’un de mes agresseurs fouille consciencieusement tout l’appartement. Il semble chercher quelque chose de précis. Je me rappelle avoir tenté de parler, mais tout ce que je retiens c’est la violence. La violence des coups, la violence des mots, la violence de la douleur. A la suite de quoi, n’ayant pas trouvé ce qu’il cherchait, un des deux hommes m’a rudement demandé où se trouvait la coque. Je n’avais jamais touché à ça. Mais mon petit ami, m’avait une fois demandé d’en garder pour lui, me jurant qu’il n’y touchait plus depuis des années, et qu’il fallait justement que je la garde loin de lui. Je l’avais donc rangé, caché, comme convenu. Mais comme je répondais que je ne savais pas où elle était, que je l’avais caché dans un tiroir et que s’il elle n’y était plus c’est que quelqu’un l’avait prise, l’homme me hurla dessus, son compagnon tirant toujours sur ma chevelure. C’est alors que je le reconnu. Celui qui hurlait. Celui que je croyais aimer.
« Declan ? »
La claque m’arracha un cri mais aussi du sang. Il était complètement en manque.
Je m’arrêterai là pour décrire l’horreur que je vécu ce jour là. La cavale qui s’ensuivit. Ces deux hommes animés par une rage, un besoin et une avidité que rien au monde ne peut expliquer. De mon coté, j’étais violentée, trahie, apeurée, et je me souviens clairement, que lorsqu’enfermée dans le placard d’une petite maison en ruine, bâillonnée et attachée, pleurant et terrifiée… Je me souviens clairement avoir voulu mourir. Parce que par peur d’être découvert par des voisins, ils m’avaient emmenée.

Par chance la police me retrouva. Par chance je n’avais subit aucun sévices sexuels. Mais le reste… Oh mon dieu le reste… J’avais été trahie par mon petit ami, que j’aimais. J’avais été agressée dans l’intimité de mon domicile, frappée, humiliée, kidnappée, séquestrée. Et par chance ! Par chance ! Ma mère avait fait nettoyer l’appartement, oubliant des taches ici et là… Dieu seul sait ce qu’elle avait pu faire nettoyer avant le drame…
Les jours qui suivirent ma sortie de l’hôpital, je les passais enfermée chez moi, à moitié prostrée sur mon canapé. Ce n’est quand ma mère rerentra plus tard que j’appris qu’un mois venait de s’écouler.
« Il faut que tu sortes ma chérie. Tu ne peux pas passer indéfiniment ta vie dans cet appartement. Il faut que tu surmontes ça. A ce propos, Fabrice a appelé, il aurait un shooting pour toi à… »
Surmontes ça… Il fallait que je surmonte ça. Je prétextais une douleur persistante aux côtes (que j’avais eu brisées) pour me débarrasser de ma mère et mettre un terme à sa proposition de boulot.
L’après midi même je me rendis chez un armurier.
« Vous avez votre permis de port d’armes ? »
« Euh.. non.. »
« Alors je vous vends rien. Si vous vous voulez buter quelqu’un faites appel à un tueur à gage ma jolie. Moi je veux rien à voir avec ça. »
« C’est pas pour tu… c’est juste pour me défendre. »
« Alors prenez vous un chien ou un garde du corps. Et virez de là ! »
Perdue. Je me sentais tellement perdue.
Alors que je quittais la boutique en soupirant, les larmes aux yeux, me demandant si un jour j’allais pouvoir me sortir de cet enfer, mes yeux se posèrent sur un cheval. Lequel était monté par un policier. Mes yeux glissèrent sur l’animal, sur l’homme, sur l’uniforme, et sur l’arme.
Il fallait que je surmonte ça. Il fallait que je change de vie.



From Past to Futur : hula trip
Se reconstruire n’est pas chose facile. Loin de là en fait. Et même quand on croit y être arrivé, il y a toujours ces petits instants de doutes où une émotion, une image, une situation, nous rappelle que l’on a été une victime. Je ne vous explique même pas la tête de la femme à la réception lorsque je lui demandais si elle avait un formulaire pour postuler à l’école de police. Et malgré les récriminations de ma mère, de mes amis, de mes futurs collègues, je ne me laissais pas abattre. L’Académie de Police de New York c’est pas rien. Avant toute chose il faut de la volonté. Par chance je l’avais.
Ce ne fut pas une mince affaire. Ni d’étudier, ni de se faire une place. Les études, les entrainements, mais qu’importe, je me donnais à fond. Pour au final sortir majeur des femmes de ma promo. Ah ah ! Comme j’étais fière. Une petite fashionista qui mettait la dragée haute à certains mecs. Un vrai bonheur. Ça n’a pas réglé mes problèmes. Je suis toujours renfermée et associable, mais au moins j’ai le sentiment que ma vie rime à quelque chose. Que je peux faire les choses bien et aider les autres. Le jour de ma remise de diplôme, mon instructeur est venu me voir. Il m’a dit :
« Jordan. Je sais par quoi tu es passée et je suis fier de voir où tu es arrivé. Mais je ne crois pas que NY soit faite pour toi. Tu as trop de souvenirs, de mauvais souvenirs pour pouvoir t’épanouir ici. » Le pire, c’est que je savais qu’il avait raison. « Change de vie Blondie, va t en. T’as déjà fait la moitié du chemin fait le reste maintenant, tu as beaucoup à offrir. J’ai entendu dire que la police d’Hawaii avait besoin de personnes de caractère, tente ta chance. »
« Hawaii ? Je vous ai dit que vous n’auriez pas de photos de moi en maillot de bain. »
« Je sais que ça te changerait beaucoup de New York, mais au moins tu retrouverais une île, un environnement sauvage et naturel, et tu pourrais tirer sur n’importe quel connard qui te parle mal à la moindre occasion. »
« Il fait chaud à Hawaii, ça change aussi de l’Alaska. »
« Le changement, c’est pas ce que tu voulais en passant ce diplôme. Ecoute Blondie, si tu veux j’ai moyen de tirer des ficelles pour te faire entrer à la HPD. Réfléchis y juste s’il te plait. Ne gache pas ton existence ici. Tu vaux bien mieux. »

J’écoutais son conseil, mes instincts, mes certitudes. Oui j’avais besoin de changement. Oui j’avais déjà fait la moitié du chemin. Et il ne restait que la dernière ligne droite. Je songeais à mon père, à ma mère. J’étais persuadée qu’inconsciemment tout était arrivé par sa faute. Elle avait balancé la drogue, c’était sa faute. Même si elle ne me l’avait jamais avoué, je sentais une certaine culpabilité dans son comportement. Elle se pressait trop pour me rendre heureuse, me choyer, c’en était étouffant. Alors j’appelais mon instructeur et le temps que tout se fasse, un mois plus tard j’atterrissais à Hilo. Comment parler de… l’intégration. Un flic pas commode supposé être votre coéquipier qui à la vue d’une tête blonde réalise que Jordan peut être un prénom féminin. Macho, misogyne à souhait, qui m’envoie bouler comme une merde. « Je veux pas de vous, retournez donc à New York ! » Plus clair on meurt. Et quand je lui demande pourquoi… « Vous êtes newbies. J’aime pas les newbies. Ça chouine, ca râle, ça pose trop de questions et ça sert à rien. Et en plus vous êtes une femme. Les femmes…. Je préfère m’abstenir de tout commentaire si ce n’est que je préfère plonger en sang au milieu des requins plutôt que de faire équipe avec vous. » C’est alors que toute fille normale (et je suis une fille normale) a subitement très envie de pleurer. Après l’avoir suivit comme toutou, fait de petites erreurs de débutants (exit les ballerines sur le terrain !!!) j’ai fini par craquer. Pas craquer dans le sens que je me suis mise à pleurer avant de rentrer chez moi. Craquer dans le sens qu’il a senti passer ma gueulante.
« Vous n’avez pas le droit de me traiter comme ça. Je ne vous le permets pas. Oui je suis une fille. Blonde en plus ! Et oui je suis une débutante. Mais dans ce cas APPRENEZ MOI ! Je ne demande que ça ! Je suis intelligente, maligne, déterminée et je crois avoir une excellente raison pour faire ce job. Alors si vous, vous n’avez pas les couilles de prendre une newbie blondinette comme équipière, peut être devriez vous échanger votre plaque contre mes talons ! » Là-dessus je le plantais sur place, folle de rage. En rentrant dans mon appartement, petit appart’ de deux pièces situé au rez de chaussée d’une résidence, oui je me mis à pleurer. Cependant je n’avais pas fait tout ça, ce voyage, l’Académie de Police pour me manger un mur à l’arrivée. Il semble que mon partenaire ait compris la même chose. Le soir même il tapa à ma porte avec un pack de bière et un dossier. Pour ma part je me servais un verre de vin, mais c’est ensemble que nous étudiâmes l’affaire.
C’était il y a un an, et depuis notre entente à vu naitre une certaine complicité.
En dehors de ça, chaque jour de repos voit venir des activités physiques et culturelles. Je suis une continentale, autrement dit quelqu’un de nocif pour leur île. Alors pour pouvoir m’intégrer je me suis intéressée de près, de très près à cette île. Faune, flore, langage, culture. C’est tout un pays que j’ai embrassé. Pour pouvoir changer de vie, et me reconstruire.


Dernière édition par Calamity-Jane le Sam 29 Sep - 12:06, édité 11 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://calamity-jane.forums-actifs.com
Calamity-Jane
Calamity-Jane
Admin

Messages : 149
Date d'inscription : 26/05/2008


✗. Jordan Kennedy Weston Empty
MessageSujet: Re: ✗. Jordan Kennedy Weston   ✗. Jordan Kennedy Weston Icon_minitimeMar 18 Sep - 14:44

JORDAN KENNEDY WESTON





Jordan Kennedy Weston ♡



❝ I ran away from the pain because... well... I was afraid...❞


✗. Jordan Kennedy Weston 513695aatm0fpJ
Revenir en haut Aller en bas
https://calamity-jane.forums-actifs.com
 

✗. Jordan Kennedy Weston

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» ✗. Jordan Kennedy Weston
» Alexandra Jones ✗ Money, it's a gas. Grab that cash with both hands and make a stash
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Calamity-Jane-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser